Questions/ Réponses

Vous trouverez dans cette rubrique les réponses aux questions les plus fréquentes concernant une première consultation. Pour toute demande supplémentaire, vous pouvez me contacter dans la rubrique Contact.

À partir de quel âge peut-on consulter au cabinet ?

Au cabinet, les consultations neuropsychologiques sont proposées aux enfants dès 3 ans, ainsi qu’aux adultes.

      • Avant 6 ans, l’évaluation permet principalement d’identifier d’éventuels troubles du développement ainsi que des difficultés dans les interactions sociales.
      • À partir de 6 ans, il devient possible d’examiner plus précisément les compétences cognitives : attention, mémoire, fonctions exécutives, langage écrit, etc.

Que faut-il apporter le jour de la consultation ?

Le/la patient(e) peut apporter tout document non transmis au préalable :

      • comptes rendus et synthèses de bilans médicaux ou paramédicaux,
      • livrets ou bulletins scolaires,
      • ainsi que quelques productions scolaires pour les enfants.

Pour les adultes, il est également recommandé de venir avec tout document médical ou paramédical pertinent, notamment les synthèses de bilans déjà réalisés.

Est il possible de réaliser un suivi après le bilan neuropsychologique ?

Oui. Un rendez-vous de suivi peut être réalisé dans les semaines, mois ou années suivant la consultation initiale, afin de faire le point sur l’évolution et d’ajuster les recommandations si nécessaire.
Ce suivi peut être réalisé en présentiel, par téléphone ou en visioconférence.

Une prescription médicale est-elle nécessaire pour consulter un neuropsychologue ?

Non. Un bilan neuropsychologique peut être demandé directement par les parents, par le patient lui-même ou à la suite de recommandations spécifiques émanant de professionnels de santé ou de l’enseignement.

Les frais de consultations et de bilans peuvent-ils être pris en charge ?

Oui, plusieurs possibilités de financement existent :

      • Pour les enfants : via la MDPH (Maison Départementale des Personnes Handicapées) par l’octroi ou l’augmentation de l’AEEH (Allocation d’Éducation de l’Enfant Handicapé).

      • Pour les adultes : dans le cadre d’une RQTH (Reconnaissance de la Qualité de Travailleur Handicapé).

      • Mutuelles : certaines mutuelles prennent en charge tout ou partie des frais (MGEN, AG2R, APICIL, AXA, MMA, Intégrance, etc.).

      • Autres dispositifs : Sécurité sociale, CAF, Conseil Général (prestations extra-légales, fonds spécifiques de solidarité, financements exceptionnels), ainsi que certains comités d’entreprise.

Dans tous les cas, je vous invite à vous renseigner directement auprès de l’organisme concerné pour connaître vos droits et les démarches à effectuer.